Lorenzo Vitturi

Italie (1980)
Biennale Images Vevey
2018
Caminantes, no hay camino, hay que caminar

Grâce à la Bourse Nestlé du Grand Prix Images Vevey 2017/2018, Lorenzo Vitturi produit un projet inspiré de son histoire familiale : dans les années 1960, son père, originaire de Venise, traverse l’Atlantique pour ouvrir une fabrique de verre au Pérou. Plus de cinquante ans plus tard, l’artiste s’y rend en emportant du verre brut de Murano. Sur place, il fusionne ces morceaux avec des matériaux péruviens, explorant la dynamique des métissages à l’échelle mondiale au travers de sa propre histoire. À l’occasion du Festival Images, la série Caminantes, no hay camino, hay que caminar transforme un débarcadère de la Compagnie générale de navigation, comme une évocation du voyage effectué autrefois par le père du photographe.

Grand Prix Images Vevey
2018
Caminantes, no hay camino, hay que caminar

Grâce à la Bourse Nestlé du Grand Prix Images Vevey 2017/2018, Lorenzo Vitturi produit un projet inspiré de son histoire familiale : dans les années 1960, son père, originaire de Venise, traverse l’Atlantique pour ouvrir une fabrique de verre au Pérou. Plus de cinquante ans plus tard, l’artiste s’y rend en emportant du verre brut de Murano. Sur place, il fusionne ces morceaux avec des matériaux péruviens, explorant la dynamique des métissages à l’échelle mondiale au travers de sa propre histoire. À l’occasion du Festival Images, la série Caminantes, no hay camino, hay que caminar transforme un débarcadère de la Compagnie générale de navigation, comme une évocation du voyage effectué autrefois par le père du photographe.