Aladin Borioli

RUCHES, 2400 A.E.C. – 1852 E.C.
Rupture de stock

50.00 CHF

Couverture : souple
Pages : 448
Taille : 11 x 15,5 cm
Langue : ENG
ISBN : 979-10-90306-98-1
Année de publication : 2022

Essai écrit par Ellen Lapper et Aladin Borioli
Design graphique : Nicolas Polli

Edition : Coédition Images Vevey / RVB Books Paris

L’intérêt qu’Aladin Borioli cultive pour les ruches lui vient de son grand-père apiculteur. Formé en arts visuels à l’ECAL/Ecole cantonale d’arts de Lausanne et en anthropologie à la Freie Universität Berlin, il développe depuis 2014 un vaste corpus composé de photographies, vidéos, sons et de matériel ethnographique. Entre photographie, architecture, anthropologie et éthologie, son travail au long cours mélange subtilement approches artistique et scientifique. À l’occasion du Festival Images, Borioli publie un ouvrage présentant une nouvelle histoire de la ruche à travers des centaines de documents d’archives. Ce glossaire visuel fascinant retrace la diversité des architectures inventées par les humains pour les abeilles sur la période qui va de 2400 avant l’ère commune à 1852, date du premier dépôt de brevet de la ruche dite “moderne”. L’artiste a choisi cette période symbolique pour démontrer la grande inventivité qu’a connu la ruche avant d’entrer, par la suite, dans une phase de sommeil.

L’intérêt qu’Aladin Borioli cultive pour les ruches lui vient de son grand-père apiculteur. Formé en arts visuels à l’ECAL/Ecole cantonale d’arts de Lausanne et en anthropologie à la Freie Universität Berlin, il développe depuis 2014 un vaste corpus composé de photographies, vidéos, sons et de matériel ethnographique. Entre photographie, architecture, anthropologie et éthologie, son travail au long cours mélange subtilement approches artistique et scientifique. À l’occasion du Festival Images, Borioli publie un ouvrage présentant une nouvelle histoire de la ruche à travers des centaines de documents d’archives. Ce glossaire visuel fascinant retrace la diversité des architectures inventées par les humains pour les abeilles sur la période qui va de 2400 avant l’ère commune à 1852, date du premier dépôt de brevet de la ruche dite “moderne”. L’artiste a choisi cette période symbolique pour démontrer la grande inventivité qu’a connu la ruche avant d’entrer, par la suite, dans une phase de sommeil.